Isa possède depuis l’année dernière un joli Duster nouvelle génération. Vous savez, celui où il n’y a plus de clés, mais une carte qu’elle peut laisser dans son sac à main.
C’est trop bien. Plus besoin de passer de longues minutes à fouiller le sac pour trouver ses clés de voiture, le Duster s’ouvre tout seul dès qu’elle arrive. Voir même il peut bipper de reconnaissance quand elle s’approche. Pour une fois que la technologie apporte un peu confort. 🙂
SAUF QUE…..
Evidemment, le jour où Isa et Léon partent ensemble, que Léon pose Isa à la porte de la mairie de Saint Jean de Maurienne, et qu’il continue seul pour aller faires des courses, il se passe des choses……
Coups de fils affolés d’un Léon qui était à bord du Duster qui hurlait « clé absente », alors que lui-même tournait dans les rues de la ville en priant pour ne pas caler.
Rattrapage parce que ça mérite et qu’on en rigole encore.
2021, vague numéro xx du Covid. L’acteur involontaire n’est pour une fois, pas mon conjoint adoré, mais mon collègue de bureau, appelons-le David, sinon il va m’en vouloir 🙂
Nous décidons de nous tester chacun dans le bureau (nous sommes 5) tous les lundis matin, histoire de tenter de se préserver d’une contamination, pas la peine de laisser le bureau être décimé, au cas où.
Rituel où chacun scrute avidement le résultat des autres, avec une lueur de suspicion dans les yeux 😉
David fait donc son test, et oups. Positif ! ! ! Il nous assure qu’il se sent bien, qu’il n’a vu personne, qu’il ne comprend pas et cours chercher un autre test.
Oups ! POSITIF encore !!!!
Il plie donc bagage, passe chercher un autre autotest à la pharmacie, rentre chez lui : Négatif. Mais où est la vérité ? Négatif ou positif ? Il cours donc au Médipôle local où on lui fait un autre test, plus fiable, celui dont on a le résultat 24 heures après.
…. qui s’avère négatif. C’est quoi ce Binz ?
C’est une salariée de la Société qui trouvera quelques jours après le pourquoi du comment : Dans les boites de test, il y avait des batônnets verts, rouges et blancs. Les premiers étaient des révélateurs négatifs, les deuxièmes étaient des révélateurs positifs, les blancs étant ceux avec lesquels il fallait se tester.
Et mon David, il a fait quoi ? il a pris deux fois un bâtonnet rouge 🙂 🙂 🙂
Aujourd’hui on reprend : La lessive selon Leon De Savoie
C’est facile, économique, pas bruyant. Tu descends le linge dans la machine à laver, tu sors faire les courses, tu rentres de courses, tu récupères le linge, et amor amor tu l’étends pour faire plaisir à ta petite femme. Mais ou est le loup dans cette histoire toute mignonne ? bin, juste, la machine n’a pas tourné car le bouton n’a pas dû être appuyé….. et c’est quand même balèze de réussir à étendre du linge sale et sec sans s’en apercevoir. Je me suis fait mal au bide tellement je riais….. sacré Leon, j’en pleure encore
Je ne résiste pas à faire un copier coller de la dernière aventure de Mon Léon, celle-ci méritant d’être gravée dans le dur. 🙂 Elle a sa place auprès de ces anciens articles :
que je vous conseille de relire en cas de déprime 🙂 🙂
Récit du jour, acteur Léon :
Ce matin, RDV au Port de Charpignat, sur le Lac du Bourget près de Chambéry.
Le 8 décembre.
En hiver.
Température extérieure, 2°C.
Oui paske je passe le permis bateau, le côtier et le
fluvial. Et ce matin, c’était l’épreuve pratique.
Donc, RDV à 7h30 ce matin, la nuit noire entre les
montagnes, je vois un bateau dans le port, feux allumés, ça ne peut-être que
lui.
Je remonte le quai puis le catway (passerelle flottante) et
arrive devant le bateau, un pêche-promenade à moteur hors-bord et garé en
marche arrière.
Le moniteur me voit : Bonjour Gérard, tu peux monter
sur le bateau, mets un pied sur la barre autour du moteur, un main sur la
moteur, ça le fait tout seul.
Ouais.
Vous la voyez venir ?
La beletisation ?
Ouais, j’ai mis le pied à coté. Et plouf dans l’eau… Un pied
de chaque coté de cette putain de barre, de l’eau (6°C, la flotte) jusqu’à
mi-cuisse, un main sur le moteur, l’autre sur le catway et l’air malin du con
qui vient de se gaufrer lamentablement…
Leon, t’as pas vu la barre ? Ben non, l’eau noire, en pleine nuit, les putains de verres progressifs. Pfffffff…….
Le moniteur m’aide à me sortir de ce mauvais pas, j’entre
dans la cabine, dégoulinant de partout. Prudent (comme si je le sentais
viendre) téléphone, fafiots et clé électronique de la voiture de location
(because Isa avait pris le Toy vu que son Duster était chez le garagiste)
étaient dans le sac que j’ai mis un point d’honneur à laisser hors de la flotte.
Vu la température extérieure, impossible de rester tout
mouillé, donc je me déloque et me voilà en slibard, pieds nus dans la cabine.
Le deuxième stagiaire arrive et voit un mec à moitié à poil
dans la cabine. Euh, c’est quoi c’t’affaire, se dit-il in petto.
Le reste de la matinée se passe bien jusqu’à l’exercice
« Récupération d’un homme à la mer ». Pour l’un des exercices, le
pilote doit se charger de récupérer lui-même la bouée simulant le gonz’. Le
moniteur m’a exempté de sortir sur le pont du bateau : « Si quelqu’un
voit un mec à moitié à poil sur mon bateau, ma réputation va en prendre un
coup ! »
Bref, la conduite du bateau est validée, avec les
félicitations du jury ?
Une petite rigolote qui m’incite à revenir sur ce blog (un peu oublié faute de temps, je le conçois….)
Lundi dernier, au boulot, comme tous les matins je charge l’extrait de compte bancaire, et que vois-je ? 19,60 € de frais d’opposition.
Je me gratte la tête, est ce que je perds la mémoire, mais je n’ai pas fait d’opposition ? Je passe donc un mot à la banque demandant des explications. Une petite assistante me répond que « c’est l’opposition que vous avez fait en 2017 » (sur un chèque perdu). « On vous débite les frais pendant 3 ans »
Je démarre au quart de tour « Vous débitez des frais pendant 3ans sur un chèque qui n’est valable qu’un an? » je rajoute un beau « c’est scandaleux » en mettant en copie, bien sur, notre conseiller entreprise. 🙂 La réponse est fabuleuse, je cite :
» Le fait que le chèque soit périmé n’empêche pas qu’il soit techniquement encaissable. Vous êtes alors en droit de le contester et de le faire annuler. L’opposition qui perdure 3 ans à cet objectif de bloquer le chèque à l’encaissement, car vous ne comprendriez pas non plus qu’un chèque opposé soit encaissé.Vous pouvez en revanche si vous le souhaiter demander la levée de l’opposition.
Dans le cas présent, à titre commercial, je demande la rétrocession de l’opposition sur les 2 dernières années. (xxx svp. Merci.). »
En sortant d’un resto je ne trouve plus mes lunettes. Je retourne dans le resto. Me voila à 4 pattes en train de fouiller derrière le radiateur. Non seulement j’ai trouvé mes lunettes mais aussi LA CARTE BLEUE DE LEON…… mazette……
La deuxième « Vieillesse, naufrage, toussa, toussa…. » :
Acte 1 : Avant de partir en vacances, je cache les papiers de la Ka, tout en le disant à Léon, qui me dit texto “Tu ne devrais pas les mettre là, tu ne vas jamais les retrouver”
Acte 2 : Premier jour de boulot, contrôle sur la route, je me dis “merde mes papiers”, mais je passe à travers le contrôle. Et le soir je retourne une partie de la maison “Mais ou ai-je caché mes papiers”.
Léon se souvient bien m’avoir dit que je n’allais pas les retrouver, mais pas mieux que moi…… D’ailleurs, je me souviens être contente de ma super cachette :)))))))
Scène finale : Deuxième jour de boulot, je tombe en panne sur la route, sans les papiers, sans les coordonnées de l’assistance, etc etc.
J+6 je suis toujours en train de retourner la maison 🙂
ps : Voiture de location par l’assistance : une Fiat500, ah ça je me suis fait bâcher…. 🙂
Fin mai 2019 : épisode 3
Bin voila, il suffisait de ne plus y penser : je viens de retrouver les papiers de la Ka. Entre la bouille bordelaise et le désherbant, dans le garage 🙂 🙂 🙂
pfuuuuuuuu
C’est de la faute à Léon, il n’a pas de mémoire :o)
J’aime beaucoup cette définition wikipédia de la loi de Murphy :
extrait « S’il existe au moins deux façons de faire quelque chose et qu’au moins l’une de ces façons peut entraîner une catastrophe, il se trouvera forcément quelqu’un quelque part pour emprunter cette voie »
On peut interpréter cette loi de deux manières : l’une, humoristique, est de prendre cette loi à la lettre, et de l’ériger en principe de pessimisme. Vue sous cet angle, la loi de Murphy est le constat, élevé au rang de principe fondamental de l’univers, que « le pire est toujours certain ». Familièrement, cette loi est aussi appelée « loi de l’emmerdement maximum » (LEM)1 ou « loi de la vexation universelle ».
L’autre vision consiste à voir la loi de Murphy comme une règle de conception : on ne considère pas la loi de Murphy comme vraie, mais on conçoit tout système comme si la loi était vraie. En particulier, un équipement doit être à l’épreuve, non seulement des accidents les plus improbables, mais aussi des manœuvres les plus stupides de la part de l’utilisateur. Elle justifie donc les principes de la conception sécuritaire préconisant de planifier et d’éliminer d’emblée les possibilités de mauvaise utilisation »
Ci-dessous un enchainement dans la vie de tous les jours, on peut aussi parler d’arbre des causes :
Isa a lavé par terre et horreur malheur, n’a pas vidé le seau ensuite.
Les freeplugs ont bugé cette semaine, et Léon a tiré des câbles dans la maison pour essayer d’avoir de la télé le soir.
Isa arrive pile au moment où le switch sauteur (farceur ?) plongeait dans le seau….. et se marre….. bin oui quoi ?
(Pause d’une journée entre deux)
Thomas et Isa se mattent le blueray de Deep Purple qui se termine par un superbe « Smoke on the water » qui reste bien ancré dans la tête
Isa vide le seau dans les toilettes entend bien un drôle de clong, mais en même temps les langoustines du soir sont à sortir de l’eau sous peine d’être trop cuites. Elle oublie.
Léon va faire son popo matinal et sort en disant « ne pas aller aux toilettes de suite »
Sourire entendu d’Isa qui entend qui comprend qu’il faut attendre l’action de la soude caustique.
Midi fin du repas, Leon retourne aux toilettes et annonce « c’est pire que je croyais »
Emboitement des données dans le neurone d’Isa » switch + clong + popo = oups la boulette «
Thomas et Isa riant à gorge déployée et entonnant un joyeux « switch in the water »
Bin le père Léon il rigole pas…… pfuuuuuu…….
Epilogue : le switch a bien été récupéré…. mais est parti direct à la poubelle :))))))))))))))))))